Et, sans contredit, pour le bien- tre de l'individu, m me pour toute sa mani re d' tre, le principal est videmment ce qui se trouve ou se produit en lui. C'est l , en effet, que r side imm diatement son bien- tre ou son malaise c'est sous cette forme, en d finitive, que se manifeste tout d'abord le r sultat de sa sensibilit , de sa volont et de sa pens e tout ce qui se trouve en dehors n'a qu'une influence indirecte. Aussi les m mes circonstances, les m mes v nements ext rieurs, affectent-ils chaque individu tout diff remment, et, quoique plac s dans un m me milieu, chacun vit dans un monde diff rent. Car il n'a directement affaire que de ses propres perceptions, de ses propres sensations et des mouvements de sa propre volont les choses ext rieures n'ont d'influence sur lui qu'en tant qu'elles d terminent ces ph nom nes int rieurs.